Module 1 – cyberVIOLENCE
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D’autres études rapportent qu’il y a deux catégories d’auteur.e.s: ceux qui cherchent à améliorer leur statut et ceux qui s’attaquent aux cibles vulnérables. Les auteur.e.s motivé.e.s par leur statut social tendent à cibler leurs ami.e.s et d’autres jeunes populaires. Ceux qui visent les plus vulnérables sont souvent moins populaires eux-mêmes et ont tendance à être anxieux ou déprimés.
Une étude canadienne souligne ce fait en trouvant que 50% des jeunes qui ont dit avoir eu recours à la cyberviolence ont aussi indiqué avoir d’abord été cible de cyberviolence. Il n’est pas rare de voir les deux parties (auteur.e et cible) se qualifiant de victime. (Réf. 11)
Il apparaît que plusieurs auteur.e.s de cyberviolence ne sont conscient.e.s ni de faire violence ni de causer de la souffrance émotionnelle qui pourraient tous deux être définis comme des actes criminels. Souvent des jeunes ont de la difficulté à distinguer entre les farces pour faire rire les ami.e.s de la cyberviolence. (Réf. 12)